Stefan Kreutz (1883-1941)

Authors

  • Antoni Gaweł

Abstract

Dans la catastrophe guerriere 1939—1945 pas un seul des postes polonais de la minéralogie — excepté toutefois l’institut de Minéralogie et Pétrographie de Poznań — n’a échappé à la destruction. A présent que pendant leur reconstruction, on aurait tellement besoin de l’aide qu’offrirait la longue expérience de principaux minéralogues polonais, pleins de mérite et connus dans le monde scientifique, on ressent d’autant plus vivement la perte des feus professeurs: Stefan Kreutz, le directeur Joseph Morozewicz et Zygmunt Weyberg. Le prof, dr Stefan Kreutz qui, entre les deux guerres, dirigeait l’institut Minéralogique de l’Université Jagellonienne, provenait d’une famille fixée depuis longtemps au ci-devant palatinat de Lwów, les mentions historiques de laquelle remontent à l’époque du roi Ladislas IV. Son pére Félix Kreutz (19. XI. 1844—22. IX. 1910), éminent minéralogue lui aussi, fut d’abord de 1870 à 1887 professeur de minéralogie à FUniversité de Lwów, succédant au célèbre pétrographe Ferdinand Zirkel, puis jusqu’à 1903 professeur de la même faculté à l’Université Jagellonnienne de Cracovie. Il n’était pas seulement un savant, bien apprécié, mais jouissait aussi d’une estime universelle en sa qualité du patriote ardent et de vif sentiment social. Après l’annulation des restrictions concernant l’usage de la langue polonaise dans l’occupation autrichienne, il fut le premier à faire, en 1871, des conférences en polonais. Il était aussi l’un des promoteurs et des fondateurs de la Société des naturalistes polonais «Kopernik» de Lwów et il était so d premier président dans les années 1874 et 1875. Membre assidu du Conseil Provincial de Mines, membre et président de la Commision Physiographique de l’Académie Polonaise des Sciences et collaborateur, toujours obligeant, de beaucoup d’autres sociétés sociales et économiques, par son travail et son expérience il mérita grande reconaissance de son pays. Stefan Kreutz, né le 6. VI. 1883 à Lwów, passa sa jeunesse à Cracovie, faisant ses études secondaires de 1893—1901 dans le lycée de Sainte Anne et s’imprégnant de l’atmospherè honorable et élevée de sa maison paternelle. À cette époque déjà, sous l’influence des excursions faites avec son père, il se rendit-compte de son goût pour la minéralogie, de même son intérêt pour la cristallographie et l’orientation de ses premières études vers elle ont leurs racines dans ses souvenirs d’enfance. L’âme sensible de l’enfant, séduite par la forme des cristaux vus dans le laboratoire de son père, subissait, même en rêve, le charme de la beauté incomparable des grottes de cristaux brillantes de toutes les couleurs. Le souvenir de cette beauté, le prédisposa aux études de ces formes de la nature1. Immatriculé à l’Université Jagellonnienne le 7. XII. 1901, il est d’abord l’étudiant chez son père. Celui-ci cependant, craignant de gêner le développement scientifique de son fils en lui imposant ses ideés, résolut de l’envoyer étudier à Vienne. Ici, le jeune adepte des sciences minéralogiques commença à travailler chez le prof. Fr. Becke, en suivant, en même temps, les cours des professeurs: G. Tschermak, Fr. Berwerth, E. Reyer et V. Uhlig, ainsi que les conférences tenues dans la Société Viennoise de Minéralogie et en visitant les musées de Vienne. Il obtint le certificat de la fin d’études à Vienne, en 1905 (14. XI. 1905). C’est à Vienne aussi qu’il fit sa thèse de doctorat (nr 1 de la liste de ses oeuvres) et fut promu docteur le 16. III. 1906. Après avoir fini ses études supérieures, S. Kreutz entra dans la période, qui dura 4 années, de voyage et de séjour dans de divers laboratoires et instituts scientifiques à l’étranger, dirigés par les sepcialistes en minéralogie et cristallographie, les plus renommés de l’époque. Il visita donc Londres, Oxford (H. A. Miers), Paris (A. Lacroix), Munich (P. Groth) et Fribourg en Brisgau (A. Osann). En présentant sa dissertation intitulée «La cristallisation du sel amoniacal» commencée en 1908 chez le prof. H. A. Miers à Oxford, et terminée à Cracovie en 1909, à l’institut de Minéralogie, dirigé alors par J. Morozewicz, il fut agréé comme aspirant professeur («docent ») de minéralogie considérée sous l’aspect particulier de la cristallographie. La confirmation officielle a lieu le 19. IV. 1910. A partir de l’année scolaire 1911/12 il tient, en qualité d’aspirant professeur, des cours de minéralogie et de pétrographie à la faculté d’agriculture de PU. J. En 1916, il est nommé prof, extraordinaire de minéralogie considérée sous l’aspect particulier de la cristallographie à l’U. J. Quand la Pologne est redevenue indépendante, le ministère de l’Éducation Nationale l’invite, le 10. III. 1919, à occuper le poste du prof, ordinaire de minéralogie dans l’Académie des Mines récemment créée à Cracovie. L’année suivante, il est nommé professeur ordinaire de minéralogie à l’IJniv. Jagell. et directeur de l’institut de Minéralogie de l’Univ. Jagell., succédant au prof. Morozewicz qui alla à Varsovie en qualité de directeur de l’institut Géologique de Pologne organisé par lui. La période eutre les deux guerres est consacrée par le professeur Kreutz entièrement à une vive activité scientifique, au travail pour organiser et agrandir l’institut et aux efforts pour introduire les méthodes modernes dans de divers domaines de la minéralogie polonaise. Ses ouvrages scientifiques provenant de cette période consistent dans plus de 70 publications du domaine de la cristallogra phie, minéralogie et pétrographie, de première importance pour le développement de ces sciences d’une part, et de l’autre, indispensables pour l’approfondissement de la connaissance de la nature inanimée de notre pays. Un autre témoignage éloquent de l’ardeur avec laquelle S. Kreutz propageait la science de la minéralogie en Pologne est le nombre considérable d’étudiants qui s’empressaient d’accourir au laboratoire minéralogique, logé dans les murs d’âge vénérable, mais pas excessivement commodes de l’édifice rue Gołębia 11 (Collegium Minus de l’Univ. Jagell.). Du total des élèves, s’élevant à plus de quarante, 16 ont fait ici leur doctorat, les autres, progressant en science et en connaissance de la technique du travail scientifique, ont accompli toute une série de déterminations, analyses et mesurages qui n’ont pas encore été suffisamment exploités dans les publications scientifiques. S. Kreutz était en contact permanent avec le monde scientifique de l’étranger, animé par la correspodance et l’échange des études. Il prit part, en représentant la science polonaise, au Congrès des pétrographes en Finlande, au XIV Congrès de géologie à Madrid en 1926, et à l’assemblée jubilaire de la Société Royale de Minéralogie à Londres. En considération de son activité scientifique, il devint, en 1918, membre correspodant de la section math.-naturaliste de FAcadémie Polonaise des Sciences et bientôt après, membre actif de la même Académie ainsi que de la Société Scientifique de Lwów, membre étranger de la Société Royale de Minéralogie de Londres, membre ordinaire de la Société Allemande de Minéralogie, membre de la direction et vice-président de la Société Polonaise de Géologie et de la section cracovienne de la Société des Naturalistes Polonais «Kopernik». Comme cristallographe de renommée mondiale, il fut invité pour prende part au Comité Honoraire International rédigeant la revue Zeitschrift fur Kristallographie. Il était, en plus, délégué au Conseil d’Etat de Protection de la Nature, vice-président de l’ancienne Commission d’examen des professeurs des écoles secondaires et enfin, doyen de la faculté de philosophie de l’Univ. Jagell. pendant l’année scolaire 1929/30. En reconnaissance de ses mérites, il fut décoré en 1925 par la croix de commandeur de l’Ordre de la Renaissance de Pologne* Son organisme frêle, mais d’une considérable force de résistance, plia enfin sous l’épuisement dû au travail incessant. Pendant l’année scolaire 1938/39 le prof. Kreutz fut obligé d’interrompre, en partie, ses occupations à l’Université pour soigner sa santé menacée. La convalescence s’annonçait bien, mais elle fut interrompue par la guerre et les experiances guerrières. Bien que sa mauvaise santé préserva le prof. Kreutz du sort de la plupart des professeurs de l’Univ. Jagell. et de l’Académie des Mines, déportés dans le camp de concentration d’Oranienbourg (Sachsenhausen), les bons résultats de la cure suivie avant la guerre furent détruits par suite de tribulations morales produites par les nouvelles ébranlantes de la mort tragique des professeurs déportés et par le fait que l’institut de Minéralogie de l’Univ, Jagell. fut fermé et détruit avec les collections scientifiques privées du prof. Kreutz. À ces douloureuses expériences venaient se joindre les chicanes auxquelles il était exposé, p. ex. les délogements obligatoires qu’il avait à faire quatre fois de suite, et cela va sans dire, de pis en pis. Les difficultés matérielles ne lui permirent pas de lutter efficacement avec le mal. Il y succomba le 30. III. 1941. Cette perte douloureuse de la science polonaise se refléta dans le deuil profond des amis et des collègues du feu professeur, de la jeunesse qui l’aimait et l’estimait, et de ses élèves qui lui étaient dévoués. Dans ces jours d’épouvante, de terreur et de défenses brutales, l’unique hommage publique rendu à S. Kreutz et l’évocation de sa vie et de son oeuvre ne furent exprimés que dans les quelques paroles prononcées au bord de la tombe par le prof, abbé Bystrzonowski, consacrées «à cet investigateur savant, ce grand admirateur de l’oeuvre divine, ce travailleur paisible et infatigable qui évitait tout retentissement, respirait la vérité et gagnait tous les coeurs par sa modestie». Ces paroles contiennent la quintessence du caractère de S. Kreutz. Spécialiste éminent dans le domaine de sa science, en même temps qne savant aux larges horizons, il était d’un caractère à toute épreuve, joignant la fermeté de son opinion au respect pour celle des autres, indulgent pour les faiblesses d’autrui, conciliant une grande sociabilité avec une sensibilité extrême qui allait jusqu’à la timidité. Élevé dans l’atmosphère pleine de charme de la maison paternelle, il garda un pieux souvenir de son père et témoignait à sa mère (Louise, née Ortyńska), jusqu’à la fin de la vie de cette dernière, un dévouement touchant. Quand elle n’était plus, il se créa une famille en épousant en 1932, Marie, fille du dr Victor Pogorzelski, directeur de lycée et pédagogue plein de mérite. Il trouva en elle une compagne pleine de dévouement dont elle fit preuve surtout pendant les mois derniers et très difficiles de la vie de S. Kreutz. Restée seule avec son jeune fils, elle cultive avec piété le souvenir de son mari. La considération pour la famille Kreutz ainsi que le charme personnel du professeur S. Kreutz lui gagnait l’amitié de tous. Grâce à elle, il lui était relativement facile de trouver les moyens pour monter et moderniser son poste scientifique à l’Univ. Jagell. qu’il chérissait. La jeunesse s’empressait auprès de lui, pleine de confiance, le regardant comme son ami et protecteur. Le prof. S. Kreutz comprenant bien les conditions difficiles de la vie des étudiants, savait toujours venir en aide à ces derniers, en leur procurant des bourses ou du travail rétribué. Caractéristique d’Oeuvres scientifiques du prof. S. Kreutz La cristallographie était la science préférée du feu prof. S. Kreutz Doué de l’observation vive de naturaliste, il déchiffrait aisément les rapports dans la structure de cristaux, cachés aux yeux des dilettants. Déjà dans sa première étude sur les calcites maclées, il constate la tendance, distinctive pour la dynamique de l’accroissement des cristaux, à produire des formes maclées de volume plus que le double de celui des exemplaires simples provenant de la même gîte. Il remarque aussi que les cristaux maclées sont plus riches en formes cristallographiques et en faces vicinales, que les simples. Les résultats de ses recherches cristallographiques, présentés dans une série d’études, surtout ceux qui concernent la régularité d’accolements de différentes substances les unes aux autres, le portent à une étude plus approfondie de la structure intérieure des cristaux. Il consacra à ce problème un travail en deux volumes, intitulé «Elemente der Theorie der Kristallstructur», publié à Leipsick et bientôt épuisé. Dans son oeuvre «Sur les fondements de la cristallographie», écrite en collaboration avec l’éminent mathématicien prof. S. Zaremba, il exprime les lois fondamentales qui régissent la diversité de faces cristallographiques — c’est à dire la loi d’indices rationnelles, celle de zones de la structure reticulaire, — dans de précises formules mathématiques. Il nous présente, dans cette oeuvre, les phénomènes de la symétrie des cristaux comme rigoureusement dépendants des lois fondamentales. En se basant sur ces dernières et à l’aide de formules géométriques appropriées, il déduit 32 groupes de symétrie, en partant des éléments les plus simples: centre de symétrie et axe de rotation, pour arriver ensuite, au moyen du produit des transformations symétriques, à une symétrie plus complexe. Mentionnons ici que le professeur P. Saurel, mathématicien de New-York, sans connaître probablement le travail de S. Kreutz publié 20 ans plustôt a tiré, lui aussi, 32 groupes cristallographiques, simplement à l’aide du centre de symétrie et de l’axe de rotation (Academy of Naturel Sciences of Philadelphia, Dec. 5, 1940). Indépendamment des études concernant les problèmes de cristallographie, résolus souvent par voie de considérarions purement théoriques, S. Kreutz a publié aussi des études minéralogiques, consacrées soit aux minéraux particuliers, soit à leurs groupes. Citons ici au premier rang l’étude ample et détaillée sur les propriétés optiques des minéraux du groupe des amphiboles et sur les rapports existants entre ces propriétés et la composition chimique des dits minéraux. A l’intérêt du prof. S. Kreutz pour la minéralogie se lie toute une série de monographies consacrées à la description des minéraux particuliers rencontrés en Pologne (morphologie des calcites polonaises, le soufre et la baryte dans le gisement de Swoszowice, les gypses du Miocène subkarpatique, les minéraux de la Tatra etc.). Dans ces descriptions il s’intéresse surtout aux rapports qui existent entre la composition chimique ainsi que la structure cristalline des minéraux et les conditions de leur formation. Il faut signaler aussi ses dernières recherches sur la luminescence des minéraux, produite par l’action soit de la lampe de quartz, soit des rayons de Roentgen. Le prof. Kreutz s’occupait aussi des problèmes pétrographiques. Il fut attiré à ces études par la Tatra, dont il a décrit les roches de limburgite et celles de la série des schistes cristallins. Trouvant sur son chemin le problème de la différenciation du granité de Tatra et l’influence du magma de ce dernier sur les schistes cristallins injectés de migmatites, il fut, grâce à ses observations sur les terrain et ses analyses pétrographiques et micro-chimiques, non loin de résoudre le problème de la formation du noyau cristallin de la Tatra. Il écrivit à ce sujet un article (57) qui, destiné pour un large public de naturalistes, est facile à comprendre sans rien perdre pourtant en précision scientifique. Dans la pétrographie des roches sédimentaires polonaises, il donna- l’initiative à l’examen systématique du Flysch karpatique. Partant du principe que les matériaux clastiques des conglomérats permettront de retrouver la structure des roches d’anciens continents qui alimentaient les dépôts karpatiques en train de se former dans les mers atténuantes et entourantes ces continents, il étudia en particulier le granité de Bugaj qui comme bloc exotique, apparaît dans les couches crétacées près de Kalwaria. Il l’a défini, comme granité différent de celui de Tatra et intermédiaire entre les granités de Silésie et ceux de Volhynie. Ayant ainsi délimité la région pétrographique des Prékarpates Occidentales où le granité de Bugaj, semblable aux granités des Sudétes, jouait le rôle le plus important, le prof. S. Kreutz constata en même temps dans une autre étude (44) que les Prékarpates Orientales formaient une région à part, consituant une prolongation de Dobroudgea, chaîne de montagnes dont les rochers, jusqu’aux menus détails de leur formation, ressemblent aux matériaux congloméràtiques des grès qu’il avait étudiés, surtout aux conglomérats connus de Truskawiec et Sloboda. Les intérêts scientifiques du prof. S. Kreutz donnaient une certaine orientation au travail de ses élèves. Les problèmes de cristallographie auxquels ils travaillaient se concentraient à cette époque sur l’examen de la structure des cristaux, surtout à cause de l’installation à l’institut, en 1926, d’un appareil de Roentgen, le premier en Pologne. En premier lieu, tous les minéraux de la Tatra furent soumis à l’examen. D’autre part une grande partie de sujets de travail appartenait à la pétrographie. À côté des roches cristalünes on étudiait aussi les sédimentaires. Les problèmes concernant la pétrographie des roches sédimentaires, étaient considérés non seulement au point de vue de la paléogegraphie pour reconstituer les anciennes régions pétrographiques (blocs exotiques, minéraux lourds), mais aussi au point de vue de leur composition chimique dans laquelle se reflétait leur état actuel comme résultat des processus de genèse et de diagenèse des dépôts (oíd red de Podolie, les marnes et les schistes, la poussière atmosphérique, etc.). La liste des problèmes scientifiques intéressants le prof. S. Kreutz serait incomplète, si on laissait de côté les sujets, dont il n’a pas pu terminer l’étude à cause de la guerre et de sa mort prématurée. Citons ici la question pour laquelle il se passionnait depuis longtemps : l’extinction incomplète de la lumière sur les coupes des amphiboles. Tout en admettant, comme explication possible de ce phénomène, la dispersion des directions de l’absorption maximale de la lumière pour les ondes de longueur différente, il n’excluait pas que la polarisation rotatoire de la lumière dans les directions des axes optiques, en était la cause. Il a été un des premiers à appliquer, à l’examen des propriétés des minéraux provenant de milieux différents, la luminescence produite par les rayons courts comme un moyen de reconnaissance, important et sensible. Pendant l’année précédente à la guerre, il caractérisa, à.la base, justement, de la luminescence, les huiles polonaises et constata qu’elles appartenaient aux trois groupes, produits, selon toute probabilité, par la filtration sélective pendant la migration. Dans le domaine de la pétrographie, il consacra beaucoup d’attention à une variété de granité blanc de la Tatra Occidentale, qui apparaît en contact avec les schistes cristallins et parmi eux. Le lever d’une carte et un examen pétrographique devait établir la connexion de cette variété avec le granité ordinaire de Tatra. Mentionnons enfin, l’ardeur que mettait prof. Kreutz, aux problèmes de la protection des trésors de la nature inanimée. Il désirait que les curiosités telles que la grotte de cristaux dans la mine de sel gemme de Wieliczka, les cavernes dans les terrains de calcaire ou de gypse, les beaux paysages et les rochers de forme étrange servent non seulement à la science, mais qu’elles forment aussi les caractères en rendant les hommes sensibles à la beauté de la nature et du pays natal.

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